À l’heure où le CD est ringard et le vinyle réduit à un support confidentiel, limite élitiste, il est fatal de recourir (de s’abonner) à une plateforme de musique en ligne.
J’ai d’abord expérimenté Google Play Music, séduit prioritairement par la possibilité d’y héberger mes propres fichiers, car j’ai des goûts parfois pointus qu’aucune plateforme en ligne ne comble… Google offrait d’accueillir jusqu’à 50’000 titres de sa collection personnelle (et d’en profiter pour ses playlists).
À un moment donné, j’ai opté (aussi) pour Qobuz, dont le projet me semblait sympathique, mais l’offre était très limitée, même en jazz, et ne proposait pas l’hébergement de ses propres fichiers.
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