Seconde journée sur le sentier bleu. Toujours au départ de Vernazza, la destination est cette fois Corniglia. C’est le seul des villages des Cinque Terre à n’avoir pas de port, car il est situé sur un éperon rocheux.
Lire la suite →Virée dans les Cinque Terre – Jour 2
Après le sympathique papillonnage initial, nous attaquons les choses sérieuses : le sentier bleu (azzuro).
Sur les 4 tronçons, les deux méridionaux (Riomaggiore – Manarola et Manarola – Corniglia) sont fermés en ce moment à la suite d’éboulements.
Depuis Vernazza, nous allons d’abord au nord-ouest à destination de Monterosso.
Lire la suite →Virée dans les Cinque Terre – Jour 1
Le patchwork de maisons colorées me tapait dans l’œil depuis quelques années…
Cet automne, c’est décidé, on y va ! Pour l’occasion, je partage le voyage avec mes sœurs 😉
Notre port d’attache est Vernazza, réputé pour être un des plus beaux villages et assez aisément accessible aussi.
Lire la suite →Paradoxe saint-gallois
Je ne connaissais absolument pas Saint-Gall et sa région avant d’y faire cette très brève incursion… Pas même un passage dans le cadre d’un cours de répétition militaire !
Ma grille de lecture romande m’a bien trompé. La ville est bien différente de ce à quoi je m’attendais (et en mieux, évidemment !).
Lire la suite →Excursion au Chapf (SG)
Au moment de préparer une journée d’excursion à proximité de Saint Gall, j’ai eu les yeux plus grands que le ventre (et surtout sous-estimé l’ampleur de la dénivellation, même à la descente).
Il faut dire que la journée avait mal commencé : ma piètre maîtrise de l’automate à billet m’a fait rater mon train et perdre une heure 😉
Pour cette excursion au Chapf, je profite d’une carte journalière « dès 9h » de la communauté tarifaire Ostwind (20 CHF).
Lire la suite →Virée saint-galloise
Comme l’automne dernier pour mon retour à Dijon, je profite d’un coup de pouce d’Airbnb qui récompense mes bons et loyaux services (Superhost).
Tant qu’à faire, j’opte pour l’exotisme indigène et planifie un saut de puce dans l’Est de la Suisse. Cela marque aussi la reprise des virées ferroviaires (billets dégriffés) adaptée à un séjour dans une ville cherchant à limiter le trafic automobile (et compliquant le parking…).
Je prends possession de mon logement en fin d’après-midi et me prépare à une balade au centre pour un repas découverte dans une institution locale : Barz (13 pts Gault et Millau).
Lire la suite →Quelle plateforme de musique dématérialisée?
À l’heure où le CD est ringard et le vinyle réduit à un support confidentiel, limite élitiste, il est fatal de recourir (de s’abonner) à une plateforme de musique en ligne.
J’ai d’abord expérimenté Google Play Music, séduit prioritairement par la possibilité d’y héberger mes propres fichiers, car j’ai des goûts parfois pointus qu’aucune plateforme en ligne ne comble… Google offrait d’accueillir jusqu’à 50’000 titres de sa collection personnelle (et d’en profiter pour ses playlists).
À un moment donné, j’ai opté (aussi) pour Qobuz, dont le projet me semblait sympathique, mais l’offre était très limitée, même en jazz, et ne proposait pas l’hébergement de ses propres fichiers.
Lire la suite →Les égards de la Poste suisse
J’ai été avisé par une notification que le facteur (ou la factrice) me livrerait ce matin une lettre recommandée en provenance d’Inde ; pour ne rien cacher, il s’agit de 250 g de Chai. Or, alors que je n’ai pas quitté mon domicile de la matinée, je reçois ça :
Lire la suite →Bain de jouvence…
Après une pause malvenue (annulation du Grand Concert du 16 décembre en raison de cas de Covid au sein de l’orchestre), la saison reprend pour moi ce 13 janvier sous le signe de la jeunesse.
Pour l’occasion, l’OCL est dirigé par Anja Bihlmaier, jeune cheffe allemande résidant à La Haye (NL).
La jeune Maestra dirige d’abord Stride, une œuvre de Anna Clyne en création suisse. La pièce est articulée en 3 mouvements déconstruisant et réordonnant des fragments de la 6e symphonie de Beethoven. C’est à la fois moderne, mais aussi mélodieux par moments et l’orchestre* comme sa cheffe prend plaisir à jouer d’une sorte de Rubik’s Cube musical…
*sans les vents
Tout au long de la soirée, Anja Bihlmaier tisse une remarquable complicité avec les musiciens et cela s’accompagne de nombreux sourires que le public perçoit même sans distinguer la visage de la cheffe 😉
Lire la suite →Retour à l’Origine…
Jeudi en fin d’après-midi, avant de me rendre au Zénith, je me suis demandé ce qu’était devenu un monument de la gastronomie dijonnaise, qui avait contribué à mon initiation : le restaurant de Jean-Paul Thibert.
À l’aube des années 1990, ma femme et moi sommes tombés sous le charme de la finesse et de la créativité du chef, plaisamment mise en valeur par les conseils avisés du sommelier. Je me souviens de la découverte d’un Coteau de l’Aubance qui nous a été proposé pour accompagner le dessert… et dont le sommelier est allé décoller l’étiquette pour nous la remettre à notre départ !
J’ai ainsi appris que le couple Thibert* a remis son restaurant en 2001 à Stéphane Derbord qui a officié dans ces lieux jusqu’à fin 2019. Depuis, le restaurant de la Place Wilson est tenu par Tomofumi Uchimura sous l’enseigne Restaurant Origine, pas de chance pour le timing.
Je découvre in extremis que l’Origine propose un menu Surprise à 35 € du mardi au vendredi à midi. Et j’ai la chance d’obtenir un couvert pour vendredi !
* Jean-Paul Thibert a ouvert son restaurant en 1985. Clé d’Or Gault et Millau en 1987, il a aussi obtenu une étoile au Michelin en 1988…
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