Sur le conseil de mes sœurs, j’ai décidé de faire une croisière sur le Nil en dahabbia.
Au lieu d’emprunter un des nombreux bateaux à multiples cabines (généralement de 60-80 cabines), notre dahabbia en compte une dizaine.

Sur le conseil de mes sœurs, j’ai décidé de faire une croisière sur le Nil en dahabbia.
Au lieu d’emprunter un des nombreux bateaux à multiples cabines (généralement de 60-80 cabines), notre dahabbia en compte une dizaine.


Pour commencer, une confirmation : une croisière sur le Nil expose très sérieusement au risque de troubles gastriques et en particulier à la diarrhée… Même si on se croit (comme moi) de constitution robuste 😉
Lire la suite →L’avant-veille de mon départ pour une semaine de découverte de la Cappadoce, j’ai malencontreusement laissé tomber mon téléphone (Pixel 7)…
Il a frappé le carrelage à plat, côté écran, bien sûr !
Résultat : quelque chose de ce genre (illustration d’emprunt)

Dans une maison mitoyenne au centre d’un groupe de 6 villas dans un village calme à proximité de Boudry et Neuchâtel. Au bord du Lac de Neuchâtel, Bevaix abrite la célèbre Pointe du Grain que l’on surnomme parfois « La Punta del Grano » (gag). Le Creux du Van (Cirque rocheux), les Gorges de l’Areuse sont tout proches.
Vidéos :
Pour terminer mon voyage, je passe les dernières journées tout à côté de Montréal à Chambly.
Localité de taille moyenne, semblable ou presque à Neuchâtel, Chambly a des atouts touristiques certains. La ville borde un Bassin alimenté par la rivière Richelieu et abrite un célèbre Fort.
Le Canal de Chambly est une des plus grandes attractions. Le canal a pour but de contourner les rapides et de franchir une dénivellation importante entre le bassin de Chambly et le Haut-Richelieu. Hors saison et avant la pause hivernale, comme c’est le cas pour moi, la circulation est fortement limitée : 2 départs à 9 et 17 h. J’étais au rendez-vous de 9h !

Avant de prendre congé de Stéphane et Nalini, ils me proposent une petite promenade dans un endroit qu’ils apprécient à proximité de leur domicile (à seulement 6 km).

Le Parc national de la Yamaska se distingue des autres (que j’ai eu l’occasion de visiter) par une offre assez généreuse en équipement touristique : outre le rituel Centre d’interprétation, il propose de multiples formules d’hébergement telles que camping (des tentes aux bungalows) ou mini-chalets, le tout au cœur d’une forêt sauvage (le principe des parcs nationaux étant de laisser la nature faire, limitant les interventions à l’entretien des sentiers).

Je quitte Sherbrooke après avoir passé une bonne partie de ma dernière journée dans le Spa Strøm…
Cela ne peut s’illustrer visuellement, mais c’était un agréable moment de détente.
Je gagne ensuite Shefford où Stéphane et Nalini m’hébergeront quelques jours. Il est peut-être opportun de préciser que la première motivation de ce voyage est précisément de répondre favorablement à leur invitation d’assister à leur réception de mariage !


La principale caractéristique de Sherbrooke est d’être une cité universitaire (et même doublement). 40’000 étudiants fréquentent l’une des deux universités… alors que la ville compte env. 180’000 habitants ! Longtemps cité industrielle, l’agglomération vit désormais essentiellement du secteur tertiaire.
Les habitants sont les premiers à le souligner : Sherbrooke est une ville agréable à vivre (surtout à l’écart du centre ville congestionné par la circulation automobile)… mais sans grand attrait touristique !


Paradoxalement, j’avais laissé de côté l’Estrie (région proche des États-Unis) lors de mon premier voyage en 2019. C’est pourtant en quelque sorte l’ancrage canadien de mon fils Stéphane, qui y a résidé quelques années dès son immigration.
La région est belle et vallonnée, mais la ville n’est clairement pas un haut-lieu du tourisme.
Pour cet aspect, il faut prendre un peu de distance (très raisonnable toutefois)… Magog est probablement le premier pôle d’attraction touristique à proximité. Je suis les conseils de mon hôte et me rends d’abord aux Marais de la Rivière-aux-Cerises :

Nouvelle journée dédiée au déplacement (env. 6 h d’autoroute) à travers des paysages aux couleurs d’été indien.
Je commence par emprunter un traversier (gratuit) de Tadoussac à Baie Ste Catherine.
