Retour en francophonie

Après mes excursions new yorkaise et ontarienne, je retourne au Québec.

Anecdote: au départ de Toronto, je ne prête pas garde au code de l’aéroport sur ma carte d’enregistrement. De New York, je suis arrivé à l’aéroport Pearson (YYZ). Je m’y rends pour mon transfert à Montréal, mais mon billet comporte le code YTZ, ce qui ne m’a pas vraiment sauté aux yeux… Il s’agit de l’aéroport situé en pleine ville sur une île (aéroport Billy Bishop). Comme j’avais pour une fois compté large dans mon horaire, j’ai eu assez de temps pour reprendre un taxi en sens inverse…

Après un voyage sans histoire dans un appareil à hélices (Bombardier Q400) dont l’équipage était Québecois, j’ai eu quelques difficultés à trouver les guichets des loueurs de voitures… pour m’apercevoir que j’avais laissé ma carte VISA nominale (pas prépayée) chez mon fils.

Du coup, taxi, puis arrangement avec Avis (par l’intermédiaire d’Authentik Canada) pour pouvoir prendre livraison de l’auto à proximité, sans avoir besoin de retourner à l’aéroport, car je ne vous dis pas la circulation…

Comme la succursale n’avait pas de compacte à me proposer, on m’a offert le SUV Chevrolet Equinox flambant neuf (500 km).

Vous avez remarqué? Il n’y a pas de plaque minéralogique à l’avant…
(enfin, pas au Québec, mais il y en a en Ontario; compétence provinciale…)

C’est la première fois que je vais conduire une automatique. Les appréhensions sont vite oubliées. En fait, c’est très agréable à utiliser; pratique même dans les démarrages en pente, etc. Américains et Canadiens sont bien en avance sur nous, mais ça va bouger chez nous aussi, c’est sûr!

Ce soir, je ne me rends pas directement à Québec, car un ancien élève a tenu à m’inviter en me sachant de passage. Je suis reçu comme un prince (j’adapte à l’histoire neuchâteloise) et passe une excellente soirée en compagnie de Sébastien, Sandra et ses deux gars. Mieux encore, j’y dors (excellente nuit) avant de poursuivre mon chemin. Merci encore infiniment!

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