Top of the Rock (sommet du centre commercial Rockfeller) avec une vue superbe à 360 degrés sur les gratte-ciel (et notamment l’Empire State Building). Très bonne organisation, ascenseur spectaculaire…
Bon, Central Park, c’est intéressant d’en-haut, mais c’est encore mieux dedans !
Je commence ma découverte de la métropole par les grands classiques…
Ma chambre est un peu spartiate, mais sur Broadway (au-delà de la 190e rue).
Avant d’arriver à Manhattan, à l’aéroport de Montréal, j’ai pu goûter au charme du salon Feuille d’érable d’Air Canada (collation et boissons en libre service, au calme) grâce aux privilèges accumulés par Stéphane au cours de ses nombreux voyages ! On prendrait goût au luxe
Dernière journée de mon premier passage à Montréal. Je commence par une région proche : la zone partagée par le Petit Maghreb et la Petite Italie.
Je retourne dans un marché (un vrai, “à la française), puis au centre ville et finalement à l’écluse de Lachine et le canal environnant. Royaume du jogging et du cyclisme…
Le reste de la page a disparu faute de sauvegarde !
Direction le parc olympique (construit pour les Jeux d’été 1976), qui a été un des premiers à s’illustrer par un coût exorbitant, un budget initial finalement multiplié par 5 ! Et 30 ans de surtaxe sur le tabac pour éponger le dépassement…
Le reste de la page a disparu faute de sauvegarde !
C’est parti pour mon voyage au Canada (avec une parenthèse états-unienne).
Dans les semaines précédentes, le pays a souffert d’inondations spectaculaires… et, au printemps, de nombreux chantiers ouvrent à Montréal, ce qui complique gravement la circulation automobile.
Le trajet de Zurich à Montréal s’est déroulé comme prévu… à part les restrictions de sécurité dans les bagages de cabine. On ne peut quand même pas demander que le personnel de vente dans un commerce du centre vous rende attentif au fait que votre pot chocolaté doit voyager en soute!
Comme mentionné dans l’article précédent, j’ai épuisé mon forfait d’activités. Aujourd’hui, je m’apprête donc à sortir mon porte-monnaie ou à profiter d’offres gratuites.
Je commence par un incontournable (absent de l’offre du passeport) : le Musée ABBA.
Même si j’ai possédé une compil’ vinyl à leur époque de gloire (il y a env. 40 ans !), ce n’est pas la musique que j’écoute de prime abord. Mais tout le monde affirme qu’il faut voir ce musée. J’y vais donc de 30 Frs d’entrée, auxquels j’ajoute rapidement 2.50 Frs pour l’audio-guide indispensable si on ne veut pas passer son temps à lire les panneaux (en suédois et en anglais) ; l’audio-guide existe en version française, c’est plus confortable.
J’avais choisi de prendre un forfait de 5 jours avec une soixantaine d’activités, visites et circuits proposés. 3 jours auraient probablement suffi. Pour le dernier jour de mon forfait, je me suis offert un tour dans l’archipel, suivi d’une rapide visite au musée des spiritueux.
Au retour, pause repas recommandée par Google dans Gamla Stan (oui, j’ai déjà dit que c’était trop touristique, mais c’était sur le chemin). Et, oui, le conseil était valable (avis des clients postés sur Google). Bon repas dans un tout petit estaminet d’une vingtaine de place, débit incroyable, mais aucun stress (contrairement à la plupart des terrasses du quartier où le chiffre d’affaire est la première préoccupation ; j’ai aussi testé !). Joues de porc cuites en cuisson lente, purée de pommes-de-terre maison au persil et à la truffe (?), une bonne Ale un peu sombre et espresso très correct !
La Suède a beau être démocratique et avec une longue tradition de gauche, elle n’en est pas moins un royaume (où l’enfant aîné hérite du trône et la princesse Victoria se profile).
Départ en bateau pour Drottningholm, résidence royale…
Le palais est assez imposant… et classique dans le genre.