Paradoxalement, c’est alors que je faisais part de mon admiration pour l’excellence du café obtenu par La Semeuse avec ses nouvelles capsules Mocca pour système Delizio que c’est décidé mon retour aux grains !
Une de mes sœurs, à qui j’en faisais part, a semblé étonnée que je ne sois pas (plus) un adepte du café en grains.
C’est vrai qu’au fil du temps (et par la force des choses), j’ai utilisé divers modèles de marques comme Jura, Melior (relatif haut de gamme disparu, sans rapport avec les appareils actuels vendus sous cette marque) ou Saeco.
Et puis, j’ai cédé au confort d’utilisation et d’entretien des machines à capsules, à la variété des types de café proposés ; surtout à partir du moment où la Migros a lancé son système Delizio, concurrent de Nespresso.
En toute honnêteté, cette offre reste excellente aussi bien en termes de qualité du café (de l’espresso) obtenu que de la gestion de l’appareil. Rien à y redire… si ce n’est le prix !
Alors, piqué au vif par la question de ma sœur, juste avant le confinement, j’ai commandé un automate à café DeLonghi Magnifica S à un peu plus de 300 CHF.
Il n’y a jusqu’ici aucune remarque négative à formuler. L’appareil a belle allure, sa conception et fabrication sont extrêmement sérieuses, l’accès est aisé à tous les éléments susceptibles d’être lavés. À ce prix, difficile d’attendre mieux !
Et, bien sûr, le prix de la tasse de café est bien moindre. Pour ne parler que du prix de la dose de café, en comptant large, ça tombe de 45 centimes pour la capsule à 15 centimes pour le café en grains ; trois fois moins !
Évidemment, il n’y a pas — simultanément — la variété de sortes, juste un clapet pour y mettre une dose de café moulu.
Alors, Airbnb oblige, je conserve une machine Delizio pour les adeptes du café décaféiné ou pour celles et ceux que la simplicité du système à capsules rassure…
Quant à moi, je profite de mon nouvel automate tout en favorisant la torréfaction locale !