Après le pain, place au yogourt !

Maintenant que je suis plus que satisfait de ma production personnelle de pain (au levain vivant), j’ai décidé de tenter une démarche analogue pour les yogourts que je consomme quotidiennement.

Il y a plusieurs dizaines d’années, on avait déjà tenté le coup avec une machine (trop) bas de gamme de la Migros. C’était assez moyen !

Je me suis donc dit récemment que des progrès ont sûrement été réalisés en la matière… et c’est le cas !

Yogourt maison sur fond de gelée de coing

Côté appareils, il y a une offre presque infinie. Après quelques heures de recherches, j’ai arrêté mon choix me semblant réaliser un bon compromis entre qualité et prix contenu.

J’ai donc opté pour une machine de conception allemande : Severin JG 3521.

Le lait et la culture de départ à partir de yogourt ou de poudre doivent être à la même température. La température ambiante est recommandée.

Pour confectionner du yogourt, cinq programmes automatiques et un programme à réglage personnalisé sont disponibles : nature, yogourt à boire, grec, à la noix de coco, végane, sans lactose et d’autres encore.

Je débute et, pour l’instant, j’utilise le programme 1 d’une durée de 8 heures.

C’est assez spectaculaire comme l’appareil maîtrise la température ; extérieurement, on a l’impression que rien ne se passe, que ça ne semble pas chauffer… et pourtant !

Comme j’aime assez les yogourts aux fruits, j’essaie d’aromatiser avec de la confiture ou de la gelée (20 g par pot). Je pense que je testerai avec de la compote ou du sirop d’érable 😉

Trucs et astuces de Swissmilk

Force m’est d’admettre que la combinaison confiture/yogourt ne remplace pas réellement la formule commerciale du yogourt aux fruits.
Du coup, c’est l’occasion de tester (et adopter) le yogourt nature !
Pour mettre un maximum d’atouts dans mon jeu, j’ai tenté l’utilisation d’un ferment en poudre : Mi.Yo doux (c’est la meilleure description que j’ai trouvée en français, mais ça s’achète parfois moins cher ailleurs…).

Ma première production à partir de lait demi-écrémé était trop liquide (et peu homogène d’un pot à l’autre). J’ai dès lors corrigé en mélangeant davantage et en ajoutant env. 25 g de lait en poudre (demi-écrémé aussi)… et c’est parfait !
Désormais, je déguste tous les jours un bon yogourt nature « maison » à la saveur délicate et douce.
Prochaine découverte : évaluer le nombre de réutilisation possible (le producteur du ferment annonce quatre fois, ce qui ferait 5 litres pour un sachet). À suivre !

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