Jeudi, il fait gris à Dijon (mais sans pluie). Temps adapté à une journée « shopping ». Je ne vais pas faire le détail de mes achats, juste relever deux commerces que j’ai appréciés :
- tout près du logement que j’occupe, la boulangerie de Gérard Le Foll, rue Buffon ; petit assortiment, mais excellent, notamment la baguette tradition
- pas très loin, Ciel rouge, disquaire (mais pas que), très bon connaisseur dans le domaine du rock (mais pas que)
Spectacle de Grand Corps Malade au Zénith ce soir, je ferai l’impasse sur un souper (dîner) au bistrot, j’ouvre donc les yeux à midi…
Et je tombe tout à fait par hasard sur le restaurant Le Piano qui fume !
La salle est petite mais l’établissement très convivial avec une playlist de musique classique (sonates de Schubert pour violon et piano à mon arrivée). Très zen après l’agitation du centre-ville…
J’y prends le menu complet (entrée, plat et dessert) :
- Salade de chèvre chaud
- Longe de porc rôtie, chou vert et pommes Darphin (röstis)
- Riz au lait, poire et caramel
Servi avec un séduisant Beaujolais-Villages Nouveau au verre, un repas succulent pour seulement 21.50 €.
En soirée, je vais pour la première fois dans un Zénith (5000 places, dont 90% occupées env.).
Grand Corps Malade y passe avec sa tournée articulée autour de la publication de son album de duos Mesdames…
Un beau spectacle à haute maîtrise technique, parfois émouvant, toujours pertinent !
… et j’ai découvert le « ban bourguignon » entonné par le public de Dijon…