Au départ de Tadoussac, il n’y a (il ne reste) que deux compagnies qui proposent des croisières d’observation des baleines. Au fil des ans, l’entreprise AML a absorbé presque tous ses concurrents; on peut désormais parler d’un quasi monopole. Exemple, AML a acquis le droit d’utilisation exclusif des pontons du port de Tadoussac… À ma connaissance, il ne reste qu’une compagnie locale indépendante, celle que j’utiliserai : « Tadoussac Autrement ». Faute de pouvoir utiliser les pontons, il faut monter à bord du zodiac (à vitres coulissantes, top !) depuis la plage de sable. Expérience faite, je recommande très chaleureusement cette formule !
Mois : septembre 2024
Canada 2024 : Tadoussac
Je termine ma première semaine par une journée à Tadoussac à côté de la rivière Saguenay, plus précisément à son embouchure dans le Saint-Laurent.
Matinée découverte. J’ai laissé l’auto au parking (on dit stationnement au Québec) de la Sépaq, ce qui me donne l’occasion d’approcher en traversant une jolie forêt par le sentier de la Coupe et un magnifique belvédère à peine en marge !
Canada 2024 : en longeant le Fjord du Saguenay
Comme tous les 2-3 jours, ce dimanche est essentiellement dédié au déplacement.
Je quitte le Lac Saint-Jean et Alma pour me rendre dans les environs de Tadoussac.
Par bonheur, le trajet parcourt le Fjord du Saguenay. Même sans (trop) s’éloigner de la route, il y a moyen de profiter de quelques beaux coups d’œil !
Le ciel plombé rend mal justice au lieu. Heureusement, l’attraction du jour sera beaucoup mieux servie : le sentier de la Plateforme et ses points de vue.
Canada 2024 : La seconde vie de Val-Jalbert
Ayant quitté Shawinigan et la Mauricie, je fais escale à Alma, au bord du Lac Saint-Jean.
Mais je commence par revenir un peu sur mes pas pour aller à Chambord et y passer l’essentiel de la journée au Village historique de Val-Jalbert. En une phrase, c’est l’histoire d’un village industriel (hébergeant les familles des ouvriers d’une usine de pâte à papier) à la trajectoire éphémère : établi dès 1901 et abandonné progressivement dès 1927 (faillite). Pour les intéressé·es, voir cette double page du Journal de Québec (13 oct. 2013) ou cette vidéo. En 1996, le site est classé par le ministère de la Culture et des communications du Québec et le village fantôme reprend vie petit à petit comme témoin touristique.
Canada 2024 : le charme de La Tuque
Sitôt après terminé mon vol en hydravion, je dois rapidement prendre la route pour me rendre à mon étape suivante : Alma.
Plus ou moins à mi-chemin, je fais une pause juste avant le coucher de soleil au Parc des Chutes-de-la-Petite-Rivière-Bostonnais. Ça a un charme fou et les aménagements pour les groupes et familles doivent avoir un succès fou en pleine saison.
Canada 2024 : Survol du Parc national de la Mauricie en hydravion
Fin du séjour à Shawinigan marquée par une expérience rare comme mentionné dans le titre !
Rendez-vous à 13h45 pour un décollage un peu plus de 30 minutes plus tard. L’expérience dure une vingtaine de minutes. Je me joins à un groupe de touristes français en fin de voyage au Canada. Nous montons à 6 dans un Beaver (De Havilland), précédés par un groupe réduit dans un plus petit hydravion (un Cessna U206F Stationair).
Canada 2024 : Parc national de la Mauricie
La météo a annoncé de la pluie ce jour-là. Heureusement, celle-ci a la bonne idée de s’arrêter en fin de matinée. Je me précipite un peu pour profiter de visiter le Parc national de la Mauricie.
Je commence par Shenewegan d’où part le Sentier des Cascades (pas le temps d’envisager celui des Falaises).
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Voyage occasionné par une invitation au mariage de mon fils Stéphane et de sa compagne Nalini.
J’en profite pour m’offrir un road trip à travers le Québec, dans une portion délaissée lors de mon voyage de 2019.
L’idée est de me rendre dans le centre nord du Québec. On commence par une halte de 3 jours à Shawinigan. Il est prévu de faire un vol en hydravion le lendemain de mon arrivée, raison pour laquelle ma première escale est au Lac à la Tortue (base des avions). D’où de premières images de fausse circonstance puisque la météo m’incitera à reporter au dernier jour (celui du départ pour l’étape suivante).
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