Tout à côté du Parc olympique, on trouve le Jardin botanique (la saison se prêtait mal à sa visite) et le Parc Maisonneuve. Les 80 ha sont sillonnés de sentiers pédestres et une piste cyclable (polyvalente) fait le tour du parc, celle-ci est aussi ouverte aux piétons. Un bel endroit !
J’entre depuis le boulevard Rosemont. La piste cyclable fait le tour du parc.Lire la suite
À la veille de mon retour, je profite du beau temps pour me rendre une dernière fois dans le Vieux-Montréal. Depuis le Petit Maghreb, grâce au métro, ça va assez vite…
Le Marché Bon Secours et sa coupole au premier planLire la suite
Il s’agit d’un quartier (ou presque, car la zone n’a pas d’existence administrative; elle est incluse dans l’arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension). Je m’y suis intéressé puisque mon fils habite là…
La rue où habite mon fils, départ de la baladeLire la suite
Pour ma dernière journée à Québec, j’ai failli passer à côté d’une excursion très sympa. La veille au soir, David et Lilia m’ont invité à leur table. Au fil de la discussion, David m’a fait comprendre que le Cap Tourmente fait partie de ses lieux de balade favoris. Un coup d’oeil aux prévisions météorologiques m’a permis de constater que les conditions devraient y être plus favorables qu’en ville. Alors, cap au nord-est (50 km env.).
Les oies des neiges font halte au Cap Tourmente durant leur migrationLire la suite
Paradoxe apparent que le féminin de l’appellation, mais logique puisqu’on ne parle pas du personnage historique, mais de la rivière qui porte son nom. En 1972, Hydro-Québec avait souhaité y construire une centrale hydroélectrique qui aurait englouti le site. Mais à la suite d’une forte mobilisation, le projet a été abandonné en 1975 et la région intégrée aux parcs nationaux en 1981…
La rivière Jacques Cartier au nord du centre de découverte et de servicesLire la suite
Lors du trajet depuis Repentigny, je suis frappé par l’ampleur des traces des récentes inondations. Sur des dizaines de kilomètres, le long du Lac Saint-Pierre et encore en aval de Trois-Rivières, l’eau vient lécher les bas-côtés de l’autoroute 40.
Compte tenu du décalage (6 heures), l’après-midi, je suis le match Sion-Xamax et son douloureux dénouement ! Puis, je vais faire mes courses au centre La Pyramide. C’est au cœur d’un quartier universitaire, ce qui se remarque par la jeunesse de la population.
Après mes excursions new yorkaise et ontarienne, je retourne au Québec.
Anecdote: au départ de Toronto, je ne prête pas garde au code de l’aéroport sur ma carte d’enregistrement. De New York, je suis arrivé à l’aéroport Pearson (YYZ). Je m’y rends pour mon transfert à Montréal, mais mon billet comporte le code YTZ, ce qui ne m’a pas vraiment sauté aux yeux… Il s’agit de l’aéroport situé en pleine ville sur une île (aéroport Billy Bishop). Comme j’avais pour une fois compté large dans mon horaire, j’ai eu assez de temps pour reprendre un taxi en sens inverse…
Après un voyage sans histoire dans un appareil à hélices (Bombardier Q400) dont l’équipage était Québecois, j’ai eu quelques difficultés à trouver les guichets des loueurs de voitures… pour m’apercevoir que j’avais laissé ma carte VISA nominale (pas prépayée) chez mon fils.
Ma visite se déroule par un jour de pluie incessante… La thématique du jour est bien aquatique.
Le volume est impressionnant
Pour éviter les flux de touristes (le risque est bien limité par les conditions météorologiques), j’ai opté pour une visite en groupe réduits au départ de Toronto. Bonne idée. On part certes avant 8h mais, au fil de la journée, on est toujours décalés…